Article de recherche

La littérature existante évaluée par des pairs établit un lien entre la NAD+ et la longévité

Depuis les années 1970, les scientifiques ont découvert que de nombreuses maladies chroniques commencent en fait dans des cellules qui n'ont pas un métabolisme efficace. Nombre de ces maladies (d'origine mitochondriale) ont été traitées avec succès par la thérapie NAD+ IV. À l'âge de 40 ans, les niveaux de NAD+ ont diminué de 50%. Ce chiffre passe à 80% à l'âge de 60 ans. Nous savons également que le NAD+ peut contribuer à nous protéger des radicaux libres - des atomes instables qui influencent le vieillissement et la maladie. Tout cela signifie que l'augmentation des niveaux de NAD+ doit être une priorité absolue pour optimiser les performances mentales et physiques de l'être humain.

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